Rage de Vert c'est quoi, c'est qui? C'est une foule de personnes qui désirent ou désiraient manger des légumes bio localement, à Neuchâtel. Mais c'est plus que ça. C'est un vieux rêve. Un mélange d'idéalisme, de besoins personnels, d'envies, d'amitiés, d'amour. L'envie de jardiner sa vie, pas seulement dans un bureau. Voilà.
L'association se crée, elle bouge. On n'a pas de terrain.
On observe, on réfléchit, on se promène. On est en ville de Neuchâtel, et on voit des terrains inutilisés un peu partout. Et si on utilisait ces parcelles en friche pour y cultiver les légumes de l'assoce? Ok. On se pose à l'Aubier juste pour boire un café, et on y reste la journée. A la fin de celle-ci, le dossier est rédigé et envoyé à la Ville de Neuchâtel pour voir s'ils ne possèdent pas des terrains inutilisés. Après plusieurs discussions, beaucoup d'ouverture de la part de la Ville, on se retrouve à s'occuper d'un terrain d'un hectare à Pierre-à-Bot. L'affaire est lancée.
On investit nos fonds propres dans du matos d'occase, en espérant rentrer dans nos frais grâce aux demandes de soutiens. Un premier tunnel est monté, puis un deuxième, plus petit. Manque l'eau, mais on regarde avec Viteos quelle conduite ponter. Les premiers plantons sont mis en terre, ils vont bien.
Puis arrive la grande chaleur d'avril.
Pourquoi ce blog? Pour vous tenir informés de l'avancée du projet. Mais aussi et surtout pour parler des dessous de l'histoire, de ce qui se passe dans nos têtes, nos joies nos peines. Et aussi pour laisser un espace de parole à nos plus grands soutiens, nos petites amours qui nous supportent au quotidien... Et croyez-le ou non, c'est pas toujours facile.
La bise
Tal
L'association se crée, elle bouge. On n'a pas de terrain.
On observe, on réfléchit, on se promène. On est en ville de Neuchâtel, et on voit des terrains inutilisés un peu partout. Et si on utilisait ces parcelles en friche pour y cultiver les légumes de l'assoce? Ok. On se pose à l'Aubier juste pour boire un café, et on y reste la journée. A la fin de celle-ci, le dossier est rédigé et envoyé à la Ville de Neuchâtel pour voir s'ils ne possèdent pas des terrains inutilisés. Après plusieurs discussions, beaucoup d'ouverture de la part de la Ville, on se retrouve à s'occuper d'un terrain d'un hectare à Pierre-à-Bot. L'affaire est lancée.
On investit nos fonds propres dans du matos d'occase, en espérant rentrer dans nos frais grâce aux demandes de soutiens. Un premier tunnel est monté, puis un deuxième, plus petit. Manque l'eau, mais on regarde avec Viteos quelle conduite ponter. Les premiers plantons sont mis en terre, ils vont bien.
Puis arrive la grande chaleur d'avril.
Pourquoi ce blog? Pour vous tenir informés de l'avancée du projet. Mais aussi et surtout pour parler des dessous de l'histoire, de ce qui se passe dans nos têtes, nos joies nos peines. Et aussi pour laisser un espace de parole à nos plus grands soutiens, nos petites amours qui nous supportent au quotidien... Et croyez-le ou non, c'est pas toujours facile.
La bise
Tal
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